Par un après-midi
ensoleillé, je me suis fait vérité à l’âme,
Je me suis fait
honneur et respect à noter,
Je n’avais pas raison
d’être à la hauteur des miens,
Je n’avais ni foi, ni
honnêteté à offrir,
J’avais ma passion et mes
doutes à partager,
Je n’avais qu’un seul
bruit à faire passer par mes oreilles,
Je ne savais pas comment
danser, ni saurais-je comment m’amuser.
Je ne savais pas comment m’ennuyer, ni saurais-je comment sourire.
Les jours étaient pour
moi diurnes,
Et, les nuits
nocturnes.
Le soleil, brillant,
Et, la neige neigeuse,
Le vent, foudroyant,
Et, le printemps
ensoleillé.
La pluie, où les eaux
coulant,
Et, l’automne, les
feuilles sur les flancs.
Je me promenais au
dehors de mes limites,
Par cette soirée de
printemps, je m’inspirais sans être confus.
Par cette soirée pas
comme les autres, je pleurais sans avoir raisons.
Une soirée pas comme
les autres, une soirée comme mes larmes.
Une soirée pas comme
les autres, une soirée brutale et cruelle.
Une soirée pas comme
les autres, une soirée printanière et venteuse.
Une soirée estivale, soirée désespérément redoutable et époustouflante.
Une soirée automnale,
une soirée aussi gentille que ma déesse.
Une soirée pas comme les autres, soirée hivernale et neigeuse.
Une soirée pas comme les autres, une soirée aussi triste que les saisons de mon univers.
«Poésie douloureuse et
triste… Poésie sans espoir, sans passion! »
Par : Vimal Kodai
Date : Le 18 avril, 2014
Heure : 15 :57 :28
Date : Le 18 avril, 2014
Heure : 15 :57 :28
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